Il utilise du film et du papier photographique vierge, et crée des oeuvres sans appareil photo. La nature fait le reste en créant des images abstraites qui se rapprochent étrangement de la peinture sur toile. Cette technique unique appelée vision nocturne produit une image de couleur verte.
Il arrive quelques fois que l’on dispose d’un panel disparate de pellicules non développées dans ses tiroirs. C’est ce que je me suis dit en voyant les Hp5+ et les Agfa Apx 100 qui traînaient sous mes yeux.
J’avais donc une cuve Paterson pour le développement de cinq films 135 ou trois films 120.
Pour je ne sais quelle raison, j’ai longtemps cru que je ne pouvais pas développer des films différents. En consultant les tableaux de développement des fabricants en fonction du révélateur dont je disposais, je me suis mis à la recherche d’un temps presque similaire pour les développer ensemble.
Pour ce mois-ci, c’est le photographe Stéphane Bednarek qui a mis une nouvelle fois le couvert. Deux propositions sont établies.
C’est le portrait de Perrine qui sera retenu au final pour ce numéro. Celui-ci me semble plus dynamique sur la couverture avec le « graphisme » proposé. Qu’en pensez-vous ?