Si organiser un flux de production en photographie numérique est un concept barbare, tu es au bon endroit !
Je suis allé au Musée de la Photographie récemment et j’ai pu observer le travail remarquable de nombreux photographes modernes. Avant d’arriver à cette étape ultime, la route est longue de la prise de vue à la diffusion de son travail photographique. Les étapes à franchir demandent une certaine organisation.
Entre prise de vue, transfert de carte, organisation, développement et diffusion, le chemin est sinueux et rempli de multiples décisions qu’un novice n’appréhende pas au premier abord.
Une bonne introduction à Lightroom
Pour cet article, je n’ai pas la prétention d’expliquer tout cela car je ne maîtrise pas encore tout le cheminement mais j’ai découvert un site photographique qui servira de bonne introduction à ces concepts de production.
Le site que je vous présente est réalisé par un animateur toulousain dont le pseudonyme virtuel est Pyrros. Dans son article, il explique de manière simple les étapes essentielles du flux de production. Ces différents contrendus ne sont pas exhaustifs mais permettront une approche de départ à tous les photographes débutants.
Lien des articles sur le flux de production avec le logiciel photographique « Lightroom« .
Pour compléter ces informations, le photographe américain Chase Jarvis présente en vidéo son « Worflow ». Pour les anglophones uniquement.
Ce truc est absolument incroyable. La paranoïa totale. La demesure a l’americaine. C’est vraiment n’importe quoi ! Mais quelle poilade apres la digestion. C’est devenue une reference pour se marrer. EhYEAH…I’m Chase Jarvis, look my beautifull world. I work hard night and day. Funky fun ! YEAAAAAH !…move-move, move your body ! Nice, very nice !
Merci pour ton commentaire. Il est vrai et je te l’accorde la patte américaine est très (trop) présente. Il y a une certaine paranoïa à une certaine mesure. Je t’avoue que je l’ai mis pour ouvrir la perception et le débat. Ce n’est pas la vidéo miracle ( et tant mieux ! ) mais elle apporte à sa manière un autre regard. N’est-ce pas cela le principal ?
C’est vrai que Chase est un pur produit américain il m’a bien fait marrer aussi…
Par contre c’est clair qu’il ne peut pas merder avec sa production, donc je ne pense pas que ce soit de la complète parano ces multiples copies de sauvegarde (bon si un petit peu quand même), un ami disait par rapport aux disques durs « ce n’est savoir SI un disque dur va lâcher, mais QUAND il va lâcher »… j’en ai déjà cassé plusieurs à ce petit jeu et dans ce monde digital, tu perds tes données et tu es foutu (surtout si tu as des clients en pub et tout ça).
Alors pour le photographe amateur/confirmé qui fait ça pour le plaisir, c’est déjà embêtant, mais pour le pro avec des clients, c’est carrément mauvais pour son business…
J’essaye d’avoir tous mes fichiers photos en double et j’utilise Time Machine aussi pour sauvegarder mes infos courantes…
Oui cela vire un peu à la surenchère de sauvegarde mais je comprends parfaitement sa démarche quand tu en vis et que tu as beaucoup de clients.
Pour l’anecdote, j’ai perdu toutes mes photographies numériques qui datent de mes 16 ans à mes 20 ans à cause d’un problème sur un disque dur. J’ai perdu une partie de ma vie car je n’avais pas été vigilant sur la sauvegarde.
Donc comme tu le dis si bien la question à se poser est : « Quand va-t-il lâcher ? » C’est un problème dans ce monde numérisé. Où seront nos photos dans 50 – 60 ans ?
Merci de ton commentaire Olivier !