Le 24 novembre en 1888 dans le journal français « Le Figaro », Emile Zola partageait une réflexion autour du journalisme qui propose un écho très moderne sur la manière dont on appréhende ce média à l’heure actuelle.
Mon inquiétude unique devant le journalisme actuel, c’est l’état de surexcitation nerveuse dans lequel tient la nation. Aujourd’hui, remarquez quelle importance démesurée prend le moindre fait… Quand une affaire est finie, une autre commence. Les journaux ne cessent de vivre dans cette existence casse-cou.